APPROCHE
Le traitement de l’eau ou des rejets industriels sont extrêmement hétérogènes. Leur quantité et leur qualité varient en fonction du procédé mis en œuvre et du domaine industriel dont ils sont issus.
Ils présentent souvent un large spectre de polluants chimiques et organiques (matières organiques et minérales, métaux, hydrocarbures, solvants, ...).
Cette grande diversité requiert une approche spécifique pour chaque type d’effluents.
L’acquisition d’une unité de traitement et la place occupée par l’installation restent un investissement important. Pour conforter le choix du client, un essai sur site est réalisé avec une unité semi-industrielle.
Cet investissement crée une charge supplémentaire pour une commune et n’est pas un outil de revalorisation pour l’industriel.
- La plus adaptée et la moins coûteuse.
- En occupant le moins de place possible au sol.
- Avec peu ou pas de consommable.
- Avec une faible consommation énergétique voire nulle dans le cas d’installation de cellules photovoltaïques.
- Garantissant un retour sur investissement en réutilisant l’eau traitée comme eau technique et eau d’arrosage.
- Pour des effluents industriels ou agro-alimentaires : une étude est effectuée pour envisager la possibilité d’améliorer la qualité et éventuellement de diminuer le volume d’effluents à traiter.
- Pour la potabilisation d’une eau communale : le calcul de la consommation par rapport au nombre d’habitants est comparé à la consommation réelle pour déterminer le volume de fuites sur le réseau.
- Un prélèvement d’eau ou d’effluent à traiter est réalisé pour déterminer le procédé le plus adapté.
- Un rapport et un devis sont remis au client.
- Un essai sur site est effectué avec un pilote semi-industriel pour valider la solution proposée.
- Une fois validée, nous procédons à la fabrication de l’unité de traitement.
- L’installation, la mise en fonctionnement, la formation du personnel et le suivi de fonctionnement.
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En règle générale, l’investissement pour une unité de traitement est amorti sur une période de 3 à  5 ans (utilisation de l’eau traitée comme eau technique, eau d’arrosage et déduction faite des taxes liées aux rejets pollués).
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